Les faits du jour |
15 Juillet 2002
Réveil à 6h30, départ à 8h moins 10. Le ciel est
bleu, les montagnes couvertes, la montée est facile. Tres beaux
pins Lariccio. Quand on arrive au col, on voit Aleria pendant 1 minutes,
puis tout se couvre.
Je trouve la tong droite pour Hervé. La pluie recommence et
ne cessera plus. Montée très pénible vers le refuge
de E Capanelle. Il fait froid. Accueil glacial au bar. Deplus,
le refuge est bondé, il n' a pas de place correcte pour les tentes.
On prend un thé et on attend la fin hypothétique de la pluie.
On est tout mouillé, les tentes aussi, puisqu'elles n'ont pas
pu sécher.
L'ambiance devient délétère sur le GR. Ce soir, c'est
l'anniversaire de Florence. Hervé essaie ses tongs dépareillées:
c'est mieux que rien.
Le néon du refuge ne marche que .... lorsqu'il y a du soleil. Tout
le refuge est une "katastrof", dira au gardien un touriste autrichien, qui
prendra des photos pour écrire au directeur du GR20.
On finit par avoir de la place dans le refuge. 3 sur matelas, 4
par terre. les D'Amiens et cousin-cousine de tassent gentiment à
6 sur 3 matelas. Le refuge n'est qu'un vaste séchoir autour d'un
poële minuscule. Je vais dormir sur un matelas !!
Les p'tits militaires arrivent alors que nous sommes déjà 25
dans un refuge de 12p places. Ils vont à une bergerie plus loin. On
a mal au coeur pour eux. Il pleut toujours.
Riz tomate+fromage+chocolat (et une orange pour moi, que j'avais gardée:
miam). Pot au bar et je vais m'effondrer sur mon lit à 20h30.
Faits marquants:
les bip-bip redorment à l'hôtel. Pfuuuu!
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